Culture(s) & Biodiversité 2025 – Concours – Capitale française de la Biodiversité
À travers toute la France, des villages, des villes et des intercommunalités expérimentent aujourd’hui de nouvelles manières de renouer avec…
Crédit image : Cro-Magnons au Muséum, FIAC 2013 © Anne Teyssèdre
Extrait
Dans le langage commun qui est celui des personnes s’intéressant à la « protection de la nature », « nature » désigne la biosphère, ses régulations, ses espèces, ses écosystèmes, etc., toutes choses qui semblent nécessaires à l’humanité de l’humanité. Aussi est-on toujours fort surpris de voir certaines prises de position qui, pour simplifier, reprennent les arguments de Luc Ferry (1992) selon lesquels le mouvement de la protection de la nature serait gros d’un dangereux anti-humanisme. Marcel Gauchet à la même époque expliquait que sous l’amour de la nature se cachait la haine des hommes (Gauchet, 1990). Comment expliquer de telles affirmations ? Qui ne connaît pas l’état de la philosophie politique et sociale depuis la fin du 20e siècle ne peut probablement pas saisir de quoi il retourne. Nous nous proposons ici de l’expliquer, sous une forme très simplifiée.
Article édité par Anne Teyssèdre.
À travers toute la France, des villages, des villes et des intercommunalités expérimentent aujourd’hui de nouvelles manières de renouer avec…
Un ouvrage édité à l’initiative de « L’Espace développement durable » des BIS de Nantes 2020.
Un podcast de la Terre au Carré avec Bruno Latour